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Notre bar est réouvert !

Dégustez des bruschettas savoureuses pour la réouverture de notre bar : les soirées printanières entre amis peuvent bientôt recommencer !
 
Le printemps est là, et avec lui revient l'envie de partager de délicieux repas en plein air avec ceux que l'on aime. Et quoi de mieux pour célébrer le retour des beaux jours que de déguster de savoureuses bruschettas dans notre bar récemment réouvert ? Dans cet article, découvrez tout ce qu'il y a à savoir sur ce délicieux en-cas italien et préparez-vous à retrouver vos amis pour des soirées inoubliables sous le signe de la convivialité et de la bonne humeur !
 
Qu'est-ce que la bruschetta ?
 
La bruschetta est une spécialité culinaire italienne simple et délicieuse, composée de pain grillé frotté à l'ail et garni de délicieuses garnitures. Traditionnellement, la bruschetta est préparée avec du pain campagnard grillé, de l'ail frais, de l'huile d'olive extra vierge et des tomates fraîches en dés. Cependant, les possibilités de garniture sont infinies, ce qui permet de créer des variations savoureuses et originales pour satisfaire tous les palais.
 
Nos bruschettas maison : un régal pour les papilles
 
Dans notre bar récemment réouvert, nous sommes fiers de vous proposer une sélection exquise de bruschettas maison, préparées avec des ingrédients frais et de qualité supérieure pour une expérience gustative inégalée. Que vous soyez amateur de saveurs classiques ou que vous préfériez explorer de nouvelles combinaisons de saveurs, vous trouverez forcément votre bonheur parmi notre menu varié de bruschettas.
 
Optez pour notre classique bruschetta tomate et mozzarella, garnie de tomates juteuses, de mozzarella fondante et de basilic frais pour une explosion de saveurs en bouche. Ou laissez-vous tenter par notre bruschetta au chèvre et au miel, alliant la douceur du miel au piquant du chèvre pour une expérience gustative à la fois riche et équilibrée.
 
Retrouvez l'ambiance chaleureuse de nos soirées printanières
 
Avec la réouverture de notre bar, les soirées printanières entre amis peuvent enfin recommencer ! Retrouvez l'ambiance chaleureuse et conviviale de nos soirées animées, où la bonne musique, les rires et les conversations animées se mêlent pour créer des souvenirs mémorables. Que ce soit pour un apéritif décontracté entre amis ou pour célébrer une occasion spéciale, notre bar est l'endroit idéal pour se retrouver et profiter de l'instant présent.
 
Réservez dès aujourd'hui et rejoignez-nous pour une soirée inoubliable !
 
Alors, qu'attendez-vous ? Réservez dès aujourd'hui votre table dans notre bar et préparez-vous à déguster de délicieuses bruschettas dans une ambiance festive et décontractée. Les soirées printanières entre amis n'attendent que vous, alors venez nous rejoindre et laissez-vous emporter par la magie du printemps et de la bonne cuisine italienne !

Un peu d'histoire du vin

Les Origines de la Viticulture en France : Un Voyage à Travers l'Histoire du Vin

La France, souvent considérée comme le berceau de la viticulture, a une histoire riche et profonde liée à la culture du vin. De l'Antiquité à nos jours, les vignobles français ont prospéré, façonnant le marché mondial du vin et établissant la France comme l'une des nations viticoles les plus influentes.
 
Les débuts de la viticulture en France

L'histoire de la viticulture en France remonte à plusieurs millénaires. Les premières vignes ont été plantées par les Grecs au VIe siècle av. J.-C. dans la région de Marseille, introduisant les techniques de vinification dans ce qui allait devenir la France. Cependant, c'est avec l'occupation romaine que la viticulture s'est répandue à travers le pays. Les Romains ont apporté des connaissances avancées en matière de vinification et ont cultivé des vignobles dans différentes régions, laissant ainsi une empreinte durable sur la culture du vin en France.
 
Les Monastères Médiévaux et le Renouveau Viticole

Au Moyen Âge, les moines chrétiens ont joué un rôle central dans la préservation et le développement de la viticulture. Les monastères ont maintenu des vignobles, perfectionné les techniques de vinification et contribué à la classification des vins. Les moines ont également été les gardiens du savoir-faire viticole pendant les périodes d'instabilité, préservant ainsi les traditions qui allaient façonner le vin français pour les générations futures.
 
Les Appellations d'Origine Contrôlée (AOC)

Le concept d'AOC, ou Appellation d'Origine Contrôlée, est apparu au début du XXe siècle en France. Cette réglementation a été mise en place pour protéger et garantir la qualité des vins en fonction de leur origine géographique. Les AOC ont contribué à établir la réputation des régions viticoles françaises, telles que Bordeaux, Bourgogne, Champagne, et bien d'autres, en tant que productrices de vins d'exception.
 
Le Marché du Vin en France

Aujourd'hui, la France est non seulement le plus grand producteur de vin au monde, mais elle occupe également une place prépondérante sur le marché mondial du vin. Le vin est profondément ancré dans la culture française, et la diversité des terroirs offre une variété de cépages et de styles de vin uniques.
 
Le marché français du vin est caractérisé par une forte demande pour les vins de qualité, tant au niveau national qu'international. Les vins français, réputés pour leur élégance et leur complexité, sont recherchés par les connaisseurs du monde entier. Les domaines viticoles français, qu'ils soient de petites exploitations familiales ou de grandes maisons renommées, contribuent à la renommée mondiale du vin français.
 
Conclusion

La viticulture en France est bien plus qu'une simple activité agricole ; c'est une tradition profondément enracinée dans l'histoire du pays. Des vignobles paisibles de la Bourgogne aux collines ensoleillées de la Provence, chaque région contribue à l'histoire et à la diversité du vin français. Aujourd'hui, le marché du vin en France continue d'évoluer, alliant tradition et innovation pour répondre aux goûts variés des amateurs de vin du monde entier.
 
En fin de compte, la viticulture en France est un art qui transcende les époques, créant un héritage viticole durable et influent sur la scène mondiale du vin.

Accords vins et fromages

Le Duo Parfait : Accords Fromages et Vins pour Sublimer vos Papilles
 
L'alliance harmonieuse entre fromages et vins est une véritable célébration des saveurs. Pour ceux qui cherchent à élever leur expérience gastronomique, découvrez ces suggestions d'accords qui feront vibrer vos papilles et révéleront la richesse des textures et des arômes.
 
1. Le Camembert et le Chardonnay
 
Le crémeux du Camembert s'associe magnifiquement avec la richesse du Chardonnay. Choisissez un Chardonnay bien équilibré, avec des notes de beurre et de noisette. L'onctuosité du fromage rencontre la rondeur du vin, créant une expérience gustative exquise.
 
2. Le Roquefort et le Sauternes
 
La puissance du Roquefort, roi des fromages bleus, trouve son équilibre avec la douceur d'un Sauternes. Ce vin liquoreux, aux arômes de miel et d'abricot, contraste parfaitement avec le goût intense et salé du fromage, créant une explosion de saveurs en bouche.
 
3. Le Comté et le Châteauneuf-du-Pape
 
Le Comté, fromage à pâte pressée affiné, s'accorde merveilleusement avec un Châteauneuf-du-Pape rouge. Les tanins robustes de ce vin rouge du Rhône complètent la texture friable et les saveurs complexes du Comté, créant une symphonie de goûts en bouche.
 
4. La Burrata et le Prosecco
 
La fraîcheur de la Burrata, fromage italien à base de mozzarella et de crème, se marie parfaitement avec la vivacité pétillante d'un Prosecco. Les bulles légères et les notes fruitées du Prosecco contrastent délicieusement avec la texture crémeuse de la Burrata.
 
5. Le Brie et le Pinot Noir
 
Le Brie, fromage à pâte molle et à croûte fleurie, trouve son partenaire idéal dans un Pinot Noir. Choisissez un Pinot Noir léger et fruité pour compléter la douceur et la texture veloutée du Brie, créant une combinaison élégante et délicate.
 
6. Le Gouda Vieilli et le Merlot
 
Un Gouda vieilli, aux saveurs caramélisées et aux cristaux de sel, s'accorde magnifiquement avec un Merlot velouté. Les tanins doux du Merlot complètent les nuances complexes du Gouda, offrant une expérience gustative équilibrée et savoureuse.
 
Conseils Pratiques :
 
Servez les fromages à température ambiante pour libérer pleinement leurs saveurs.
Prévoyez une variété de fromages (pâte molle, pâte pressée, bleu) pour satisfaire tous les palais.
N'hésitez pas à expérimenter et à ajuster les accords selon vos préférences personnelles.
En suivant ces suggestions d'accords, vous serez prêt à créer une dégustation fromages et vins inoubliable. Laissez-vous guider par votre palais et explorez les innombrables possibilités de ce mariage divin entre fromages et vins. Santé et bon appétit !

Le BEAUJOLAIS

Le Beaujolais fait partie de la région viticole de Bourgogne, mais ses vins doivent être considérés à part, pour plusieurs raisons.

L’ancienne voie romaine, qui suit les vallées du Rhône et de la Saône, a véhiculé des soldats romains vers la région à partir du 2ème siècle. Il existe des traces de vignobles romains sur la Côte de Brouilly, appelés Brulliacus par les Romains, ainsi qu’à Morgon.
Comme souvent dans les vignobles de France, les moines, à partir du 7ème siècle, ont su maintenir et développer le vignoble après la retraite des Romains. A cette époque, la région de Beaujolais était intégrée au Duché de Bourgogne.

Le mot Beaujolais trouve son origine dans la petite ville de Beaujeu, à l’ouest de la région. Une identité spécifique pour les vins de la région s’est développée à partir du 14ème siècle, lorsque Philippe le Hardi, alors Duc de Bourgogne, a banni le cépage Gamay de la partie septentrionale de la Bourgogne. Il a trouvé refuge en Beaujolais, région dont les sols sont bien plus propices à la culture de ce cépage que ceux de la Côte d’or.

Le voisinage de la ville de Lyon a toujours fourni un marché important aux vins du Beaujolais, mais, jusqu’aux années 50, ils ne furent que peu connus en dehors de la région.

La tradition qui consiste à boire les vins dans leur prime jeunesse s’est perpétuée pour les vins du beaujolais, à cause de leur caractère délicieusement fruité. Ceci a donné naissance au Beaujolais Nouveau, qui est devenu un succès mondial depuis une trentaine d’années. Les vins plus puissants et complexes des 10 villages, ou Crus, du Beaujolais, méritent peut-être davantage notre attention.

Le terroir
Situé dans le département du Rhône, le vignoble couvre une surface d’environ 22000 hectares. Il prolonge une autre région de la Bourgogne, le Mâconnais, par le sud, et continue jusqu’aux confins de la ville de Lyon. Des collines le protègent des vents de l’ouest, tandis que la Saône, à l’est, lui a fourni, à travers les siècles, des marchés accessibles.

La partie septentrionale du Beaujolais, autour des dix villages (voir Production) qui ont le droit d’apposer leur nom seul sur l’étiquette des vins produits sur leur commune, est une région de collines. Ce paysage bucolique, qui à lui seul sert d’emblème à la richesse et à la douceur de la France, devient moins accidenté vers le sud, ou la ville de Villefranche-sur Saône constitue un centre à l’activité des négociants du Beaujolais.
Des étés chauds, et des hivers frais font un climat tempéré, aux influences continentales. Cette partie méridionale de la Bourgogne jouit de températures légèrement plus élevées que la Côte d’or, par exemple.

Les monts du Beaujolais protègent la région du vent de l’ouest, souvent porteur de pluies. Les orages en fin d’été constituent néanmoins un danger fréquent pour les récoltes. En hiver, la neige est courante, car la région est proche du massif Central.
La région des « Villages » et ses côteaux fournit des meso-climats favorables à un mûrissement précoce des raisins par rapport au Beaujolais du Sud et ses sols plus lourds et frais.

Les sols les plus intéressants pour le cépage Gamay se trouvent au nord de la région, qui est distinguée par une appellation spécifique : Beaujolais Villages. Les dix villages déjà mentionnés se trouvent dans cette région. Les coteaux possèdent une géologie complexe, mais le granit et le schiste sont très présents, avec des poches de calcaire.

Au sud, dans l’Appellation moins accidentée du Beaujolais, les sols sont plus riches et argileux, avec des excroissances de calcaire par endroit.

Organisation
Le vignoble se divise parmi de très nombreux propriétaires, dont une partie vend du raisin, ou du vin à des négociants qui élaborent ou élèvent et mettent en bouteille des vins sous leurs propres étiquettes.
Un tiers des vins du Beaujolais se vend chaque année comme Beaujolais Nouveau ou Beaujolais Villages Nouveau. Sur le plan financier, ceci est très valable pour les intéressés, car les frais de stockage et d’élevage sont inexistants pour des vins qui quittent les chais immédiatement après la récolte.

Appellations
La partie méridionale du vignoble produit des vins sous l’appellation Beaujolais. Environ la moitié des vins de la région se vend sous cette appellation. Une petite partie bénéficie de l ’appellation Beaujolais Supérieur, à condition que les raisins contiennent 10.5° d’alcool potentiel, au lieu de 10° pour Beaujolais.
La deuxième appellation en importance est Beaujolais Villages. Elle se situe dans la partie septentrionale qui se caractérise par une série de collines et des sols schisteux ou graniteux.
L’énorme majorité des vins de ces deux appellations sont rouges, mais chacune produit également des vins blancs élaborés à partir du cépage Chardonnay.
Dix villages à l’intérieur de la zone du Beaujolais Villages sont considérés comme des Crus, et ont le droit d’indiquer leur nom seul sur l’étiquette des vins produits sur le territoire de leur commune. Les règles qui gouvernent leur production sont plus restrictives que pour les deux appellations régionales. Ils sont, du nord au sud : St.Amour, Juliènas, Chenas, Moulin-à Vent, Fleurie, Chiroubles, Morgon, Regnié, Brouilly, et Côte de Brouilly.

Les cépages
Il n’y a que deux cépages en Beaujolais. Les vins rouges, qui constituent 95% de la production, sont élaborés à partir du cépage Gamay. Les vins blancs, Beaujolais Blanc ou Beaujolais Villages Blanc, utilisent le Chardonnay.

Les vins du Beaujolais sont connus avant tout pour leur caractère délicieusement fruité. Cela est vrai pour tous les vins dans leur jeunesse, et le Beaujolais Nouveau (ou Primeur) doit son succès à ce style. Les vins issus des Villages, ou Crus, possèdent davantage de complexité et de profondeur.

Un expert est capable de distinguer un Cru d’un autre par ses arômes. Le plus typé de tous est probablement Morgon. Le sol granitique de cette commune donne de la structure et du mordant aux vins qui ont la capacité de vieillir pendant quelques années, comme les vins de quelques autres Crus, tels que Moulin-à-Vent ou Chenas.

Les arômes fruités proviennent du cépage Gamay, et sont mis en valeur par une technique de vinification adaptée. En Beaujolais les vins rouges sont issus d’une vinification en raisins entiers, qui macèrent pendant 3 à 4 jours. Cette technique de vinification, très naturelle, autorise l’ouverture progressive des baies, et le vin qui en résulte est peu tannique, bien que coloré et très fruité. La fermentation est plus longue pour les Crus que pour le Beaujolais Nouveau.
Beaujolais Nouveau, ou Primeur, peut être vendu à partir du 15 novembre, bien que la date exacte varie de quelques jours chaque année. Il termine sa vie au printemps suivant. Les autre vins de Beaujolais ne peuvent se vendre avant le 15 décembre. La plupart des vins du Beaujolais sont à leur apogée pendant deux ans, à l’exception des Crus, dont la capacité de garde peut aller jusqu’à 5 ans environ.

Glenfarclas

Depuis 1865 l’histoire de Glenfarclas se confond avec celle de la famille Grant. Le 8 juin 1865, John Grant est devenu locataire de la ferme Rechlerich et a acheté la distillerie Glenfarclas, fondée en 1836, au prix de 511.19 livres.
 
Aujourd'hui, Glenfarclas reste l'une des seules distilleries familiales d'Ecosse entièrement indépendante.

Les whiskies de la distillerie sont reconnus par les amateurs. Ils figurent dans le peloton de tête des whiskies du Speyside. La philosophie de la famille Grant, représentée aujourd’hui par la cinquième et sixième génération, est de "créer un whisky écossais des Highlands pur et parfait, dans le style traditionnel de Speyside". Le nom Glenfarclas signifie "la vallée de l’herbe verte". Elle se trouve à environ 1.5 km de la Spey, près du village de Marypark.
 
Glenfarclas a conservé le même type d'alambics que ceux en usage dès 1836, 6 alambics parmis les plus grands du Speyside.

L'influence du Sherry est énorme: Glenfarclas n'hésite pas lorsqu'il s'agit d'investir dans les meilleurs fûts de Sherry, et regroupe aujourd'hui près de 68 000 fûts, vieillissant dans près de 32 entrepôts différents. Ce sont des fûts espagnols de Sherry Oloroso et Fino, brûlés afin de délivrer toute la saveur vanillée et adoucir le whisky.

Glenfarclas possède des vintage de chaque année depuis 1952 jusqu'à aujourd'hui. Chaque millésime révèle un caractère et des arômes uniques, de la fraîcheur d'un 10 ans à la douceur d'un 30 ans.
 
Le lancement officiel des Family Casks en 2008 en est tout un symbole: la gamme regroupe 43 millésimes, de 1952 à 1994, embouteillés fût par fût au degré naturel.
 
En 2016, lors de sa participation à la San Francisco World Spirits Competition 2016, Glenfarclas à été nommée ; Meilleure Distillerie de Single Malt Ecossais. 39 experts issus de l’industrie mondiale des spiritueux ont récompensé la distillerie Glenfarclas en attribuant 6 médailles à ces différents whiskies.

Du RHUM des Caraibes !

RHUM - La compagnie des Indes Caribes 
 
Issu d’un assemblage de rhums de la Guyane anglaise, de la Barbade et de Trinité-et-Tobago, le blend « Caraïbes » est plein d’arômes.
Les rhums, vieillis en fûts de Bourbon pendant 3 à 5 ans dans les Caraïbes, sont ensuite importés en Europe et dégustés soigneusement afin de faire partie de l’assemblage final.
 
Pays d'origine: Trinité-et-Tobago, Guyane, Barbade
Teneur en alcool: 40% Alc./Vol.
Méthode de vieillissement: Vieilli en fûts de bourbon pendant 3-5 ans
Ajout: 15 g / L de sirop de canne biologique
 
Les notes de dégustations
 
Nez: fruité et épicé
Bouche: d’abord, des notes de jus de canne à sucre, fraiches et légères à la fois; puis, des notes de fruits tropicaux et une certaine douceur
Finale: fraiche sur les clous de girofle, le gingembre et le réglisse avec des notes d’épices
 
 
La compagie des Indes 
 
Les rhums Compagnie des Indes sont élaborés avec soin et élégance. L’idée est née des compagnies des Indes Orientales portugaise, anglaise, hollandaise et française des XVIIème et XVIIIème siècles, qui sélectionnaient les denrées rares des contrées lointaines et les importaient dans leurs pays respectifs. Comme ces dernières, nous sélectionnons les meilleures qualités de Rhum et les importons en France.
Les Rhums Compagnie des Indes sont sélectionnés avec une grande rigueur. Ils sont embouteillés en Single Casks ou assemblés, afin d’en faire ressortir la typicité et la qualité de chaque destin.
Les Rhums Compagnie des Indes ne contiennent pas d’arômes surfaits. L’idée étant de recentrer le consommateur vers des Rhums qui ont le goût de RHUM!
 

Comment fait-on du vin ?


Comment fait-on du vin ? Comment passe-t-on du raisin au vin ?
Quelle que soit la couleur du vin, le principe de production reste le même : partir du raisin comme matière première et le faire fermenter pour que les sucres naturellement présents dans les baies se transforment en alcool, sous l’action des levures. Voilà l’idée générale, mais il existe évidemment de nombreuses étapes, méthodes et techniques différentes.

1- La base de la fabrication du vin : le raisin

Il en existe des milliers de variétés différentes (on parle de cépages) à travers le monde ! Pour faire du vin, il faut donc choisir un ou des cépage : des cépages rouges pour les vins rouges et rosés, et généralement des blancs pour les vins blancs !
Les cépages


Les cépages les plus connus sont par exemple le cabernet franc, le cabernet sauvignon, le pinot noir, le chardonnay, le merlot ou encore la syrah, le grenache, le sauvignon et le tempranillo. Chaque cépage a ses particularités propres, ses forces, ses faiblesses et bien sûr, tous les cépages ne sont pas adaptés à toutes les régions (température, type de sol, de climat…). Ils donnent chacun au vin des caractéristiques organoleptiques (parfum, goût, texture) différentes. On appelle ces caractéristiques les arômes variétaux du vin : c’est ce qui provient directement du cépage.
Par exemple, le sauvignon transmet généralement des arômes intenses d’agrumes et de buis, le cabernet franc est souvent reconnaissable a ses arômes de poivron, même poivron vert lorsque les raisins sont récoltés trop tôt, alors que le gamay livre plus des parfums de panier de petits fruits rouges frais.
Chaque vin a ses cépages : certains ont un seul cépage (comme le vouvray, qui est produit avec du chenin, ou le beaujolais, avec du gamay) et d’autres peuvent en avoir plusieurs, par exemple les bordeaux mélangent souvent cabernet sauvignon, carbernet franc, merlot, petit verdot. Cela varie d’une appellation à l’autre (chaque appellation a ses règles) et d’un vigneron à l’autre.
Différentes manières de cultiver la vigne pour faire du vin
D’abord, on peut choisir de cultiver selon certaines règles, comme l’agriculture biologique. Il y a de nombreux labels dans la viticulture : la bio, la biodynamie, la haute valeur environnementale, l’agriculture raisonnée ou on peut tout simplement rester sans label, en viticulture conventionnelle.
Là, la principale différence tient au degré d’utilisation des pesticides et des produits de synthèse, mais pas uniquement. Dans l’agriculture dite conventionnelle, certains mettent beaucoup de pesticides pour éviter que des ravageurs ou des maladies ne détruisent la vigne, d’autres traitent avec plus de parcimonie, voire pas du tout (l’absence label ne signifie par forcément qu’un domaine n’est pas écolo, certains domaines pourraient tout à fait être labellisé en bio ou biodynamie, mais ne le demandent pas pour diverses raisons). Il y a aussi ceux qui désherbent, un peu, ou beaucoup et ceux qui ne le font pas. En bio, on peut dire grosso modo que les produits de synthèse sont bannis, au profit de produits d’origine naturelle. Attention, ça ne veut pas dire qu’on utilise pas de pesticides en bio : il y en a aussi. Simplement ils sont fabriqués à partir de matériaux qu’on trouve dans la nature, comme le sulfate de cuivre. La biodynamie repose sur la même approche bio, mais y ajoute une démarche plus spirituelle et ésotérique, centrée sur le respect des cycles naturels et de la vie des écosystèmes locaux (cela passe par exemple par une stimulation de la vie dans les vignes, le suivi du calendrier lunaire, l’utilisation de préparations et tisanes pour stimuler la vie des sols et des plantes…).
Tout cela influence en partie la qualité et les propriétés du vin. Évidemment, plus le vigneron prend soin de sa vigne, plus on aura un vin de qualité. Le raisin est la base du vin et pour beaucoup de vignerons, l’essentiel de la qualité du vin provient de la qualité du raisin. Chaque vigneron s’adapte aussi à son écosystème : si vous êtes dans une région sèche et très ensoleillez, vous ne travaillerez pas de la même façon qu’un vigneron qui cultive dans une région plus fraîche et humide, où le passage au bio par exemple est plus compliqué puisque l’humidité est plus propice aux maladies.
Ensuite, une fois les vignes cultivées, il y a les vendanges, période où l’on récolte les raisins. Les vendanges sont une étape importante de la production et la fabrication du vin, qui ont lieu à la toute fin de l’été ou au début de l’automne. On peut récolter le raisin à la main ou de façon mécanique, à l’aide de machines spéciales. Et là encore, tout ça influence la fabrication du vin. Si on récolte à la main, cela permet un meilleur tri et de prendre plus soin des baies. Avec des machines, on peut écraser certains raisins et donc perdre un peu en qualité. Les raisins sont généralement de nouveau triés en arrivant au chais, là encore, manuellement ou mécaniquement. Les vendanges peuvent s’étaler sur plusieurs semaines et dans certains cas, se faire en plusieurs passages à différents moments pour avoir la bonne maturité sur toutes les grappes (on appelle ces passages les tries).

2 – La vinification : 4 étapes indispensables à la fabrication du vin

Fabrication du vin : l’éraflage des raisins
D’abord il faut choisir ce qu’on fait des tiges des grappes de raisins. Eh oui, vous ne le saviez peut-être pas, mais quand on fait du vin, parfois, on peut laisser les tiges – tout ou partie – quand on presse le raisin. Ces tiges, qu’on appelle les « rafles » contiennent des tanins qui peuvent rendre le vin astringent et lui donner un goût végétal, herbacé, ou au contraire des notes mentholées lorsque la rafle est bien mûre. Certains vignerons les laissent, d’autres n’en laissent qu’une partie, et d’autres encore enlèvent tout. On appelle cette étape l’eraflage, et on dit qu’on « égrappe »le raisin lorsqu’on retire les rafles. Lorsque l’on égrappe pas du tout et qu’on laisse toutes les rafles, on parle de « vendanges entières » : mais la majorité des vignerons enlèvent toutes les rafles.
Le foulage et le pressurage : extraire le jus du raisin
Passons maintenant aux choses sérieuses : il va falloir transformer ce raisin en jus.
Pour cela, il y a encore plusieurs étapes et plusieurs options. Globalement, l’objectif final est toujours le même : il faut presser le raisin pour en extraire le jus puis le séparer des parties solides (peau, pépins, rafles…). Mais il y a plusieurs manières de le faire.
Parfois, on passe d’abord par l’étape du foulage : il s’agit de faire éclater les raisins pour faciliter l’extraction du jus. Vous savez, c’est ce fameux moment où l’on écrase le raisin en marchant dessus pieds nus dans de grandes barriques ouvertes. Bon, ça c’était la méthode traditionnelle, à l’ancienne, mais aujourd’hui, cela se fait généralement dans un fouloir mécanique. Cette étape du foulage n’est pas systématique. En fait, en foulant le raisin, on fait éclater les baies et on écrase la peau et les pépins, ce qui permet de relâcher certaines particules (les tanins notamment) dans le jus. Mais parfois, on ne le fait pas, notamment quand on veut un jus plus clair, limpide. Par exemple les vins blancs notamment, ne sont généralement pas foulés, pour ne pas colorer les jus et limiter l’apport en tanin.
Pour les vins blancs : le pressurage
Dans le cas des vins blancs, il faut passer ensuite par la phase de pressurage, qui consiste à presser les raisins pour en extraire le jus. Ce pressurage peut se faire via différents types de pressoirs (pressoir hydraulique, pneumatique). La qualité du pressurage et surtout sa délicatesse (vitesse et pression) jouent un rôle important dans la qualité du vin ; il vaut mieux un pressurage doux et lent. L’extraction du jus peut être divisée en différents lots, de différentes qualités : le vin de goutte (les premiers jus extraits), puis le vin de presse (les jus suivants, plus chargés en matière solide), notamment pour les champagnes. On obtient ainsi le moût : le jus de raisin mélangé à plus ou moins de parties solides (peaux, pépins…).
On écoule ensuite le jus dans les cuves, puis il décante. C’est le débourbage, une clarification naturelle. Il faut ensuite procéder au soutirage : pomper le jus pour le déplacer dans les cuves où il fermentera (cuves inox, bois…), durant ce soutirage, le jus est séparé de la majorité des bourbes qui restent au fond de la cuve.
A l’inverse, dans le cas des vins rouges, ce pressurage se fera après les fermentations.

La macération du vin
Une fois qu’on a le moût de raisin, ce qui va permettre de fabriquer le vin, c’est d’abord la macération (pour les rouges) et ensuite la fermentation (pour tous les vins). Car c’est pendant la macération et la fermentation que le moût de raisin va développer ses arômes et que l’alcool va commencer à apparaître.
Pour les vins rouges, rosés, oranges : la macération
La macération, d’abord, consiste à laisser le jus en contact avec les parties solides du raisin (peau, pulpe, pépins, rafles) afin que les tanins (et d’autres composés phénoliques, aromatiques et colorants) contenus dans les peaux, les pépins ou les rafles se dissolvent dans le jus. Eh oui, faire du vin, ce n’est pas juste faire fermenter du jus de raisin. Les autres éléments du raisin et notamment les peaux participent aussi !
La macération est particulièrement importante pour les vins rouges et rosés : c’est notamment là que le vin prend sa couleur ! Pour les vins rosés, la macération dure quelques heures, alors que pour les rouges, elle dure de quelques jours pour les vins légers à cinq semaines pour les vins les plus corsés. Pour les vins blancs, on peut aussi avoir une macération, mais elle dure alors moins longtemps et se fait à une température plus faible. Et si on laisse macérer un vin blanc assez longtemps, il devient un « vin orange » aussi dit vin de macération : on en trouve notamment en Slovénie, en Italie et de plus en plus un peu partout. La macération, c’est très important car cela va donner une partie partie des caractéristiques du vin : sa richesse en tanins, certains arômes…
Et encore une fois il y a plusieurs façon de faire : soit on laisse macérer « tout seul », soit on peut intervenir pour l’accentuer ou l’influencer. Par exemple :
Le pigeage : casser le chapeau de marc (les dépôt qui flottent en surface) et l’enfoncer dans le moût. Plus on répète cette opération (parfois plusieurs fois par jour), plus le vin sera extrait (ou corsé) et charpenté.
Le délestage : pomper le moût et le transvaser dans une autre cuve, laissant le chapeau de marc dans la première cuve, puis le moût est ensuite réincorporé dans la première cuve où le chapeau s’est déposé au fond de la cuve ; la réincorporation du moût noie et mélange le chapeau.
Le remontage : pomper le moût du bas de la cuve pour le réinjecter en haut, sur le chapeau de marc. Le moût traverse alors le chapeau et s’enrichit en matière (anthocyanes, tanins…).
Ces trois opérations servent à accentuer l’extraction, à enrichir le vin, notamment en tanins.
Le temps de macération varie en fonction de nombreux paramètres. Et avec la macération, il y a aussi la fermentation. Mais avant, on doit d’abord se débarrasser des résidus solides qu’on a dans le moût : les rafles, les peaux, les pépins. Cette opération s’appelle le débourbage : il s’agit de séparer le jus, liquide, des résidus solides. Pour ça, on fait donc décanter le vin, pour clarifier le jus et ne garder que le liquide. Et ensuite, on laisse tout ça « fermenter ».

La fermentation du vin
En gros la fermentation, c’est le moment où les sucres du raisin commencent à se transformer en alcool. Dans le cas des vins rouges, elle se produit durant la macération. Et il n’y a rien de magique là dedans : tout ça c’est naturel. En fait, dans le raisin, on trouve des levures naturelles, des champignons microscopiques. Ces levures utilisent les sucres du raisin pour produire de l’énergie et cette réaction produit de l’alcool. C’est ce que l’on appelle la fermentation alcoolique. Elle peut démarrer naturellement, c’est-à-dire avec les seules levures indigènes (les champignons microscopiques présents naturellement sur les raisins), ou bien elle peut se faire grâce à des levures sélectionnées spécialement (les levures exogènes) que l’on ajoute au jus de raisin. La fermentation fait généralement monter la température du jus de raisin, jusqu’à entre 12 et 36°C, et durent plusieurs semaines (généralement deux ou trois). La fermentation peut se faire en cuves inox, verre, bois ou autre, avec thermorégulation ou non.
Mais il n’y a pas qu’une seule forme de fermentation. Il peut aussi y avoir aussi une seconde fermentation, dite malolactique, même si cette dernières n’est pas automatique. Elle peut s’enclencher jusqu’à deux mois après la fermentation alcoolique. Pendant cette fermentation, l’acide malique (principal acide contenu dans le raisin) se transforme en acide lactique : cela permet de réduire l’acidité du vin et de l’assouplir, de lui donner un côté plus onctueux et lacté. Généralement on laisse le vin aller jusqu’à la fermentation malolactique pour le vin rouge mais ce n’est pas systématique pour le vin blanc. La FML peut être recherchée et encourager, voire provoquée ou le vigneron peut laisser les choses se faire naturellement et qu’elle se fasse ou non selon les millésimes.
La fermentation finit par s’arrêter lorsqu’il n’y a plus de sucre pour nourrir les levures.
Dans le cas du vin rouge, on passe ensuite au pressurage
Cf pressurage dans le cas du vin blanc ci-dessus.
Et à ce moment-là, on commence à avoir quelque chose qui ressemble à du vin : le jus de raisin a macéré, et fermenté, on a de l’alcool et il va maintenant falloir faire vieillir ce vin pour lui apporter la touche finale. C’est alors l’étape du soutirage : on transvase le vin dans leur contenant d’élevage.

3 – L’élevage du vin

Une fois les vinifications terminées, on ne consomme pas forcément le vin tout de suite. Certes, l’alcool est apparu et certains arômes se sont développés, mais la plupart du temps, on travaille encore le vin pour le rendre meilleur. C’est ce qu’on appelle « l’élevage ». Il s’agit en quelques sorte des finitions, réalisées après les vinifications et avant la mise en bouteille et qui ont pour but d’apporter certaines nouvelles caractéristiques organoleptiques au vin.
L’élevage c’est avant tout laisser au vin le temps de se développer. Cela peut se faire dans différents types de contenants, mais les plus utilisés sont les fûts de chêne, les cuves inox, béton ou verre, des amphores… Il peut durer de 2-3 mois à plusieurs années. Ce sont généralement les vins rouges taillés pour la garde, qui sont élevés le plus longtemps, alors que les vins blancs et les vins rouges faits pour être bus plus jeunes nécessitent des élevages moins longs.
Plusieurs phénomènes ont lieu durant l’élevage :
D’abord, le vin évolue. Cette période aide le vin à prendre de nouveaux arômes, à se développer. L’élevage sous bois peut par exemple apporter des arômes boisés, vanillés, toastés, en même temps qu’il peut apporter des tanins, ce qui peut jouer un rôle dans le potentiel de garde du vin. Le qualité du côté boisé d’un vin dépend du type de barriques utilisées (neuves ou ayant déjà servies pour plusieurs vins, durée et intensité de la chauffe de la barrique…)
Ensuite, lorsque l’élevage a lieu dans des fûts en bois, des échanges d’oxygène ont lieu entre la barrique et le milieu extérieur, ce qui fait évoluer le vin on parle de micro-oxygénation du vin ou d’oxydation ménagée. Il y a alors forcément une partie du vin qui « disparaît », par évaporation ou qui est absorbée par le bois (c’est la fameuse « Part des Anges », même si ce terme est surtout utilisé pour les spiritueux). L’oxygénation est aussi bénéfique au vin, mais il ne faut pas qu’elle devienne trop importante, au risque d’oxyder le vin. C’est pour cela qu’on doit généralement ouiller le vin.
L’ouillage consiste à rajouter régulièrement du même vin dans les barriques, pour compléter les barriques qui se vident légèrement progressivement. A noter que dans certains cas bien spécifiques, le vin n’est pas ouillé, car on recherche justement une certaine oxydation. C’est par exemple le cas des vins jaunes (Jura) ou des vins doux naturels.
Durant l’élevage, les derniers résidus présents dans le vin subissent également des changements : le vin se clarifie par sédimentation naturelle (les résidus tombent au fond de la cuve). Mais le vin est également souvent « collé » : en gros, on ajoute au vin une substance d’origine protéique pour qu’elle emprisonne et élimine les particules encore en suspension en coagulant. C’est ce que l’on appelle le « collage » et on peut le faire à l’aide de blanc d’œuf, de gélatine de poisson, de gélatine de porc, ou de caséine. Des colles de synthèse et des colles minérales peuvent également être utilisées (bentonite…). Depuis quelques temps, les colles d’origines végétales se sont également développées, à base de protéines de blé, de pois ou de pommes de terre et certains vins se font même labellisés végans !

4- Assemblage

Avant d’être mis en bouteille, le vin est « assemblé » si besoin : c’est-à-dire que l’on mélange les vins issus de différentes cuves ou barriques, les différents cépages, les différentes parcelles… Par exemple, quand on a un vin composé de plusieurs cépages, on fait généralement les étapes de vinification et d’élevage séparément pour chaque cépage, et on les mélange à la fin au moment de l’assemblage pour obtenir le vin terminé.
Enfin, le vin est généralement filtré pour le rendre limpide et brillant. La filtration consiste à faire passer le vin au travers d’un filtre pour éliminer les derniers dépôts, résidus ou particules. Il existe différents types de filtres : à terres filtrantes, à plaques, à membranes… Mais cette pratique est parfois critiquée, car lorsque le vin est trop filtré, cela élimine des macromolécules qui contribuent à la richesse du vin. Le vin est un produit vivant, ne l’oublions pas !

5- Vieillissement

Pour finir, le vin est mis en bouteille, on parle de la « mise », puis il est prêt à être commercialisé directement ou après un vieillissement en bouteille dans les caves du domaine.
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